Alexandre Dumas: La dame aux camélias

MyeBooks 20180410-2214
Dumas-Camelias-ajk.txt (* txt -> HTML)
1,2663,194,cla,fra,20160604,20160619,5,Alexandre Dumas: La dame aux camélias
20160604-20160619, 194 pages, 5* SalesInfo o fra

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1.SisällysluetteloContentsСодержание
(1,2,3,4,5)
2.MuistiinpanotHighlightsПримечание
h
3.SanastoVocabularyСловарь
w
4.KirjanmerkitBookmarksЗакладка
b
5.YhteenvedotReviewsРезюме
###
6.HuomautuksetRemarksЗамечания
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Sisällysluettelo Contents Содержание (Code: (1,2,3,4,5))

1530001 Chapitre I Mon avis est qu'on ne peut créer des personnages
60002 Chapitre II La vente était pour le 16.
110003 Chapitre III Le 16, à une heure, je me rendis rue d'Antin.
170004 Chapitre IV Deux jours après,
250005 Chapitre V Un assez long temps s'écoula
320006 Chapitre VI Je trouvai Armand dans son lit.
380007 Chapitre VII Les maladies comme celle dont Armand
470008 Chapitre VIII Cependant, continua Armand après
530009 Chapitre IX —Bonsoir, mon cher Gaston,
610010 Chapitre X La chambre
700011 Chapitre XI En cet endroit de son récit,
790012 Chapitre XII À cinq heures du matin
860013 Chapitre XIII —Vous êtes venu
950014 Chapitre XIV Rentré chez moi, je me mis à pleurer comme un enfant.
1030015 Chapitre XV Il y avait à peu près une heure
1090016 Chapitre XVI J'aurais pu, me dit Armand,
1180017 Chapitre XVII Le lendemain, Marguerite
1240018 Chapitre XVIII Vous donner des détails sur notre nouvelle vie
1310019 Chapitre XIX Dans les trois premières lettres,
1370020 Chapitre XX Mon père, en robe de chambre,
1420021 Chapitre XXI —Enfin! s'écria-t-elle en me sautant au cou.
1490022 Chapitre XXII Il me semblait que le convoi ne marchait pas.
1550023 Chapitre XXIII Rentré chez moi, je me mis à pleurer comme un enfant.
1630024 Chapitre XXIV C'était déjà quelque chose,
1730025 Chapitre XXV Armand, fatigué
1800026 Chapitre XXVI «Ce qui suivit cette nuit fatale,
1920027 Chapitre XXVII —Vous avez lu?
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Muistiinpanot Highlights Примечание (Code: h)

1 (20)
—Monsieur, répliquai-je, si le service que je parais pouvoir vous rendre doit calmer un peu le chagrin que vous éprouvez, dites-moi vite à quoi je puis vous être bon, et vous trouverez en moi un homme heureux de vous obliger.
2 (26)
—Avez-vous connu une nommée Marguerite Gautier? —La Dame aux Camélias? —Justement. —Beaucoup! Ces «beaucoup!» étaient quelquefois accompagnés de sourires incapables de laisser aucun doute sur leur signification.
3 (87)
Prenez Marguerite pour ce qu'elle est, pour une bonne fille spirituelle et jolie; soyez son amant pendant un mois, deux mois; donnez-lui des bouquets, des bonbons et des loges; mais ne vous mettez rien de plus en tête, et ne lui faites pas des scènes de jalousie ridicule.
4 (87)
Mais comment voudriez-vous que les femmes entretenues de Paris fissent pour soutenir le train qu'elles mènent, si elles n'avaient pas trois ou quatre amants à la fois?
5 (138)
—Je vais vous les expliquer. Que vous ayez une maîtresse, c'est fort bien; que vous la payiez comme un galant homme doit payer l'amour d'une fille entretenue, c'est on ne peut mieux; mais que vous oubliiez les choses les plus saintes pour elle, que vous permettiez que le bruit de votre vie scandaleuse arrive jusqu'au fond de ma province et jette l'ombre d'une tache sur le nom honorable que je vous ai donné, voilà ce qui ne peut être, voilà ce qui ne sera pas.
6 (156)
Je n'osais entretenir mon père, je craignais toujours qu'il ne me dît: «Tu vois que j'avais raison quand je niais l'amour de cette femme.» Mais il n'abusa pas de son avantage, et nous arrivâmes à C... sans qu'il m'eût dit autre chose que des paroles complètement étrangères à l'événement qui m'avait fait partir.
7 (170)
—Non, mon ami, les circonstances ont été plus fortes que ma volonté. J'ai obéi, non pas à mes instincts de fille, comme vous paraissez le dire, mais à une nécessité sérieuse et à des raisons que vous saurez un jour, et qui vous feront me pardonner. —Pourquoi ne me dites-vous pas ces raisons aujourd'hui?
8 (168)
Les hommes seuls ont la force de ne pas pardonner. Le duc ne m'a pas répondu.
9 (190)
«Il est resté peu de temps dans la chambre de la malade, et il en est ressorti en me disant: «—Elle a vécu comme une pécheresse, mais elle mourra comme une chrétienne.
10 (193)
Je revins à Paris où j'écrivis cette histoire telle qu'elle m'avait été racontée. Elle n'a qu'un mérite qui lui sera peut-être contesté, celui d'être vraie.
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Sanasto Vocabulary Словарь (Code: w)

1 éclaboussent (2)
tilkka
2 débauche (3)
?irstailu
3 jais (8)
?
4 phtisie (10)
?kulutus,
5 aguets (11)
näköalapaikka
6 commissaires-priseurs (12)
?huutokaupanpitäjät.
7 niais (25)
?typerys,
8 étau (35)
?ruuvipuristin.
9 lorgnait?ogled (42)
10 poitrinaire (46)
?keuhkotautinen
11 phaéton (50)
12 taquine (54)
?kiusaa,
13 en dièse (58)
?terävä.
14 m'épancher (73)
?keventää itse.
15 étagère (79)
hylly
16 cuirassé les sentiments (81)
?Taistelulaiva tunteita.
17 garçon insipide (90)
tylsä poika
18 maussade (90)
Moody?
19 esclandre (95)
skandaali
20 guinguette (115)
kapakka
21 est toujours aux abois (119)
?on vielä loitolla.
22 saccadé (146)
?nykivä,
23 l'eau me coulait sur le front (160)
24 pelisse (163)
25 J'allai chez Olympe, que je trouvai essayant des robes, et qui, lorsque nous fûmes seuls, me chanta des obscénités pour me distraire (172)
- passe simple
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Kirjanmerkit Bookmarks Закладка (Code: b)

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220160605+44p=61p31%****************
320160608+94p=155p80%****************************************
420160609+39p=194p100%**************************************************
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Yhteenvedot Reviews Резюме (Code: ###)

Alexandre Dumas: La dame aux camélias
1,2663,194,cla,fra,20160604,20160619,5,Alexandre Dumas: La dame aux camélias
20160604-20160619, 194 pages, 5* SalesInfo o fra

Superbe lecture en plusieurs réspectes

Le vainqueur sans conteste est le maître Dumas. Quel raffinement d'entité du debut à la fin comme un œuf contenant une vie ou un fruit mur avec goût divine. Une parfaite histoire d'amour sans doute, mais plus que ça j'apprecie quelques autres facets de cet chef-d'œuvre.

Par-dessus tout, une argumentation très convaincant dans tous les tours d'événements. Dans la chaîne des événements, peut-être une fois commencé par nement, rien succede sans raisonnement convaincante. Les émotions et les larmes coulent comme produits mathématiques, si un a, puis le b. On est forcé de croire à chaque tour. Cela devait arriver. Pas d'autre choix.

Un autre facteur qui est déterminé à attirer ma attention est la beauté de l'expression linguistique, la luminosité, la douceur de texte. Pas un seul mot vague, ambivalent ou une ligne sombre. Il n'y a pas une piece de l'écriture ou l'auteur aurait endormi en l'écrivant, mais sans écrivan, rafraîchie, clairement lui-même a tout fait avec un stylo legère enjouissant lui-même de l'écriture.

Le troisième point fascinant est l'utilisation du passé simple tendue. Je souhaite que je pourrais apporter de cette compétence! Bien qu'elle ne serait d'une grande utilité pour moi. Parceque je presque jamais communique en français, En particulier ne produiçant une texte où je le pouvais utiliser. En finnois oui, j'essaye consciemment d'écrire, respectivement, dans le présent historique, c'est à savoir de la même façon comme on utilise passé simple en français, chaque fois qu'il est possible. Dans la plupart des cases, ça se déroule de telle manière qu'après avoir déjà longtemps écrit je me réveille et fixe le temps de l'écriture comme si un genre plus élevé, et je vais essayer de se rappeler d'écrire de l'or en avant. Ainsi, même maintenant. En géjustemeje m'en trompe et dois corriger. L'un de mes professeurs de français avait vraiment appris le passé simple et l'utilisa constamment, cependant, il ne l'a exigé à ses élèves. Je ne me souviens pas que quelqu'un d'autre, pas de la bouche des français, je ne l'aît entendu parler.

Tout d'abord m'a beaucoup perplexé est ce que je lis juste la version polonaise en genre du jeu pour théatre et la trouve fort différent de la version du roman. Il est comme si toute une histoire différente quand même si clairement le même sujet. Bien sûr, je n'y ai trouvé aucun conflit. Je ne peux pas imaginer que ce serait néanmois. Mais je pense que le jeu serait comme si le seul tang de poisson, et le roman comme un saumon plump et plein. Ou jouer un plan simple pour une histoire à écrire en l'avenire, bien que probablement, en fait, le cas est contraire: en avant le roman et puis le jeu. Bien sûr, les données exactes existent, mais pas à moi. Bien sûr, il est également vrai qu'une partie de la différence va au compte de la langue. Polonais je comprends à peine, mais français - on peut dire - entièrement en écrit.

Et pourtant il y a un aspect important: des rebondissements et tours comme eux-mêmes des évenements. L'un est l'amour, l'autre de l'argent, une troisième et une quatrième la vie de la maladie et la mort. Tous ces méritent et exigent dans ce rapport propres pensées du lecteur. Après tout, l'amour est tout ce qui, au moins à mon avis, n'est pas l'amour du roman la force motrice principale, pour autant qu'ils sont dominants chez les protagonistes des émotions et de comportement, des larmes, de bonheur, la folie ont provoqué jusqu'à précipité. Je me demande combien de fois le mot 'fou' se produit dans le rapport? Pour beaucoup, il est clair.

Pas beaucoup est laissé, le cas échéant, de l'argent. Il est parlé à chaque tour. Le besoin d'argent, les dettes. En général, donc, et tant de milliers, mais pas tant que les prix individuels que coûte un an. Pennies ne parlent pas, mais dans certaines situations, un billet de banque provoque de grandes émotions, comme cela est le fait que sa bien-aimée Marguerite et Armand payé la nuit précédente.

Fascinant sont les méandres de la vie décrites ici et le style de vie dont je faisais partie chez les gens en général, des vêtements, des bijoux et des chevaux - même à la fin du rail. Comme moyen de communication la lettre était outil, un simple messager ne suffisait pas, le téléphone, la radio, pour ne pas mentionner le mobile n'existaient pas encore.

Et enfin, la maladie et la mort. La maladie a tout détruit. Convaincante, de sorte que le patient ne soit oublié, ou même que le patient ne serait pris en charge. Oui, elle a été pris en charge, mais les froissement et des crachats de sang inévitablement ont fait leur devoir. Théâtre, dîners et masquerades restent. Pourtant, juste à la fin, Margarete porte un rouge et d'aller à la loge vaudeville, où elle a été inventé par Armand. Elle n'a pas suivi le jeu, mais regardé tout le temps le loge où Armand une demi-année avant de s'asseya pour la première fois de leur rencontre.

Et puis suiva une mort douloureuse. Et celle la Margarete a du visager seul. Armand est causé par les circonstances impérieuses, bien qu'apparemment, peu importe l'endroit des profondeurs, loin du lieu de la manifestation. Le résultat final de l'histoire fortement presse le cœur de moi-même pour les raisons de l'absence des amis, la solitude et la hauteur de mon âge. Bientôt, il sera en face de moi, même si en ce moment pas en vue.

Il n'y a pas d'autre choix que de cinq étoiles.

Superb reading in several respects

The winner is undoubtedly master Dumas. What a refinement from the beginning to the end as an egg from one end to the other containing a life inside, or a ripe fruit with a divine taste. A perfect love story perhaps, but more than that I appreciate some other facets of this masterpiece.

Above all, a very convincing argumenation in all the turns of events. Once, perhaps coincidentally originated chain of events contains no antagonistic substances, without very convincing reasoning. The emotions and the flow of tears proceed as mathematics, if a then b, reader being forced to believe in every turn. This was bound to happen. No other choice.

Another factor which is determined to draw attention is theb eauty of linguistic expression, brightness, smoothness. Not a single vague, distrait or absent-minded line. Nothing half-wake writtenwrittewith light hand and clearly refreshed brain, the author clearly enjoying what he is doing.

The third fascinating point ifor me is the masterly use of passé simple tense. I wish I could learn that skill! Although for myself it would not be of much use. When I hardly ever use, not to speak of typing in French, especialingsomething in which this tense could be used. In my own language the Finnish, yes. I try consciously to write, respectively, in the historic present tense, ie the corresponding way, whenever it is possible. In most cases, it takes place in such a way that having written the text for a long time I wake up and fix the tense written as if to a higher level of genre, and thence forward try to remember to write forwardthat way. Thus even now. In generawaynow and then limpin and afterwards correcting. One of the few of my French teachers had really learnt passé simple and used it constantly, Did not, however, require it from his students. I do not remember anyone else, not even a French person. from whose mouth I had heard passé simple.

At first puzzled me greatly the difference between two versions of this book. I had just read the same book in Polish and now in French. The Polish in the disguise of a theater play, wherea this is an ordinary novel. It is as if they were two entirely different stories, though clearly of the same topic. Of course, I have found no conflict. I can not imagine that there would be one. But I feel that the play would be as if the thoneskeleton of a fish, whereas the novel a full plump salmon. Or play a simple plan for a future story, although probably in fact the case is the contrary: First novel and then play, this is, of course, the exact data exist, but not me. Of course it is also true that part of the difference goes to the account of language. Polish I barely understand, written French - one can safely say: completely.

And still there is one important aspect, facet: the plot twists and turns as matters themselves. One is love, the other money, a third and a fourth life, illness and death. All of these deserve and require in this report the reader's own thoughts. After all, love is not, at least in my opinion, the main driving force of the story, as much as it dominates the emotions and behavior of the lovers, tears, happiness, up to the border of madness. I wonder how many times the word 'fou, crazy' occurs in the report ? For many, it is clear.

Not much is left behind, if any, money. It is spoken at every turn. The need for money, debts. In general, so and so many thousands, but not so much as individual prices than as annual costs. Pennies they do not talk about, but in some situations, one banknote causes big emotions, as is the case when Armand pays his beloved Marguerite for the previous night.

Fascinating are the twists and turns of life described here and the lifestyle to which belonged servants, friends, clothes, jewelery and - horses, and in the end the rail. Daily reciprocating letter was the main tool of commmunication, a mere messenger was not enough, the phone, the radio, not to mention the mobile telephone as it is now.

And finally, illness and death. The disease destroyed everything. Convincingly, not so that the patient would be forgotten, or even that the patient would not be taken care of. Yes, she was taken care of, bshethe simple shivering and coughing up blood inevitably did their duty. Theatre, dinners and Maskerades remain away. Yet, just at the end, Margarete wears a red and is going to the vaudeville lodge, in which she was sitting when invented by Armand. She did not see the play, but was staring at the lodge, from where Arwher was looking at her half a yeherago, the first time when they met.

And then followed a painful death. Here is Margarete alone, for Armand is far away, caused by the break of friendship, seemingly, although never in the depths of mind. The end result is a heart breaking death that touches me in two important respects: for loneliness and for my high age. Soon it will be in front of myself, even though right now not in sight.

There is no other choice than five stars.

Erinomaista luettava monessa suhteessa

Voittaja on epäilemättä mestari Dumas. Mikä hienous ja ylevyys alusta loppuun, kuin muna päästä toiseen sisältäen kokonaisen elämän tai kypsä hedelmä jumalallisen maku. Täydellinen rakkaustarina ehkä, mutta enemmän kuin se, niin että arvostankin enemmän tämän mestariteoksen joitakin muita näkökulmia.

Ennen kaikkea erittäin vakuuttavaa argumentointia kaikissa tapahtumien käänteissä. Kerran ehkä sattumalta alkunsa saanessa tapahtumaketjussa mitään ei taphdu ilman vakuuttavaa perustelua. Tunteiden ja kyynelten vuo etenee kuin matematiikka, jos a niin b, pakko uskoa jokainen käänne. Näin täytyi tapahtua. Ei muuta vaihtoehtoa.

Toinen seikka johon tietoisesti kiinnitän huomiota on kielellisen ilmaisun kauneus, kirkkaus, sujuvuus. Ei ainoatakaan epämääräistä, kaksimielistä tai hämärää lausetta. Ei ole tekijä kirjoittaessaan nukahdellut, vaan herpaantumattoman pirteänä selvästi itsekin tekemästään nauttien kevyellä kynällä kirjoitellut.

Kolmas kiehtova seikka on passé simple aikamuodon käyttö. Osaisinpa tuon taidon! Vaikka eipähän itselläni sille paljon käyttöä olisi. Kun en juuri koskaan ranskaksi mitään kirjoita, varsinkaan sellaista johon tätä aikamuotoa voisin käyttää. Suomeksi kyllä pyrin tietoisesti vastaavasti kirjoittamaan historiallisessa preesensissä eli vastaavalla tavalla aina kun se on mahdollista. Useimmiten tapahtuu siten että tekstiä pitkään kirjoitettuani havahdun ja korjaan siihen mennessä kirjoitetun ikään kuin korkeampaan tyylilajiin ja koetan muistaa jatkossa siinä pysyä ja kirjoittaa. Näin nytkin. Yleensä haksahtelen ja joudun korjaamaan. Yksi muutamista ranskan opettajistani oli todella opetellut passé simplen ja käytti sitä jatkuvasti, ei kuitenkaan oppilailtaan vaatinut. En muista kenenkään muun, ranskalaisenkaan suusta kuulleeni.

Aluksi minua askarrutti suuresti ero juuri lukemani puolankielisen näytelmäversion ja tämän romaaniversion välillä. Ikäänkuin kokonaan eri juttu vaikka selvästi sama aihe. En tietenkään mitään ristiriitaa huomannut. En voi kuvitella, että sitä olisikaan. Mutta tuntuu, että näytelmä olisi ikäänkuin pelkkä kalan ruoto ja tämä romaani koko pulska lohi. Tai näytelmä pelkkä suunnitelma tulevalle tarinalle, vaikka varmaan todellisuudessa asia on päin vastoin: ensim romaani ja sitten näytelmä. Tästä on tietenkin tarkka tieto olemassa, mutta ei minulla. Ilman muuta on myös niin, että osa erosta menee kielten tiliin. Puolaa juuri ja juuri ymmärrän, ranskaa - voi sanoa - kirjoitettuna täydellisesti.

Ja vieläkin on yksi tärkeä näkökulma, fasetti: juonen käänteet itse asioina. Yksi on rakkaus, toinen raha, kolmas elämä ja neljäs sairaus ja kuolema. Kaikki nämä ansaitsevat ja vaativat tässä kertomuksessa lukijalta omat ajatuksensa. Loppujen lopuksi rakkaus ei sittenkään, ainakaan minun mielestäni, ole tämän rakkausromaanin pääasia tai kantava voima, niin paljon kuin se päähenkilöiden tunteita ja toimintaa hallitseekin, kyyneliä, onnea, hulluuteen saakka aiheuttaakin. Montakohan kertaa esiintyy kertomuksessa sana fou, hullu? Monta, se on selvä.

Paljon ei näistä jää jälkeen, jos ollenkaan raha. Siitä puhutaan joka käänteessä. Rahan tarpeesta, veloista. Yleensä niin ja niin monista tuhansista, mutta ei niinkään yksittäisinä hintoina kuin vuosikustannuksina. Penneistä ei puhuta, mutta kuitenkin joissakin tilanteissa yksi seteli aiheuttaa isot tunteet, kuten sekin jolla Armand maksoi rakastetulleen Margueritelle edellisestä yöstä.

Kiehtovia ovat tässä kuvatut elämän käänteet ja elämäntapa, johon kuuluin palvelijoita, ystävättäriä, vaatteita, koruja ja - hevosia, mutta lopulta myös rautatie. Päivittäin edestakaisin kulkeva kirje oli kommunikaation väline, pelkkä sanansaattaja ei riittänyt, puhelinta, radiota, kännykästä puhumattakaan ei ollut.

Ja vielä lopuksi sairaus ja kuolema. Sairaus kaiken tuhosi. Vakuuttavasti, ei niin että potilas olisi unohdettu tai etteikö potilaasta olisi huolehdittu. Kyllä huolehdittiin, mutta vilun väreet ja veren yskiminen väistämättä tekivät tehtävänsä. Teatteri jää, päivälliset ja maskeradit jäävät. Vielä ihan lopussa Margarete pukeutuu punaiseen ja menee siihen Vaudevillen loosiin, josta Armand hänet keksi. Ei katso näytelmää, vaan tuijottaa sitä loosia, jossa Armand puoli vuotta aikaisemmin istui heidän ensi kerran tavatessaan.

Ja sitten seuraa tuskallinen kuolema. Ja se on Margareten kohdattava yksin, sillä Armand on pakottavien asianhaarojen aiheuttaman välirikon, vaikkakin näennäisen, ei koskaan mielen syvyydessä tapahtuneen, johdosta kaukana tapahtumapaikalta. Tämä loppu riipaisee itseäni sekä yksinäisyyden että oman korkean ikäni johdosta. Pian se on itselläni edessä vaikkei juuri nyt näköpiirissä.

Ei mitään muuta mahdollisuutta kuin viisi tähteä.

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Asko Korpela 20180410 (20110710) o Ajk homepage o WebMaster
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